Hier soir (mercredi) le commissariat de police de l’Habitation Leclerc situé sur les hauteurs de Martissant a été la cible d’une attaque armée perpetrée par le gang de Grand-Ravine. Il a fallu l’intervention rapide des hommes armés de Ti Bois dirigés par Christla pour empêcher les malfrats d’entrer dans le commissariat, avons-nous appris à notre rédaction.
Sept (7) minibus auraient été détournés par les bandits armés de Grand-Ravine, a appris l’agence en ligne KAPZY NEWS.
Un présumé bandit identifié au nom de « Frid alias BIM » ainsi connu, a été arrêté dans l’après-midi du dimanche 19 janvier 2020, à Martissant, par des agents de la police nationale d’Haïti(PNH), affectés au commissariat de la zone, a appris l’agence KAPZY NEWS.
Bougòy, l’un des puissants et chefs de file des bandes armées du quartier de Grand-Ravine, intervenant jeudi soir sur les ondes d’une station de la capitale, met quiconque au défi de fréquenter certains endroits de la troisième circonscription de Port-au-Prince dont Martissant, en signe de protestation contre le pouvoir en place.
Un jeune homme a été retrouvé mort ce lundi à quelques mètres du campus de Bolosse à Grand-Ravine, 4 jours après l’assassinat de Peterson Paul dans cette zone.
Intervenant sur les ondes de Zénith FM ce vendredi, le chef des bandes armées de Grand-Ravine connu sous le nom de » Bougoy » se dit prêt à déposer les armes et à dialoguer avec son rival » Tibwa « .
L’agence en ligne KAPZY NEWS n’a toujours pas confirmation officielle de la mort de Junior Décimus alias « Tèt Kale » considéré comme l’un des anciens chefs de gang du quartier de Grand-Ravine. Cependant, des sources concordantes ont rapporté que le présumé bandit « Tèt Kale », libéré de prison en Juin dernier, serait mort !
Le commissaire du gouvernement de Port-au-prince, Me Ocnam Clamé Daméus, a, dans une note datée du 8 juin 2018, ordonné la libération d’un ancien chef de gang de Grand Ravine. Ce dernier répond aux noms de Saint-Jean Romélien; et de Junior Decimus alias « Tèt kale ».
Suite au communiqué de presse du Ministère de la justice et de la sécurité publique en date du 9 Mai 2018 qualifiant les journalistes de complices de bandits notoires à qui ils donnent la parole, l’avocat et militant politique André Michel a réagi en déclarant que ce communiqué constitue une atteinte caractérisée et inacceptable à la liberté d’expression en Haiti.
