L’homme de loi estime qu’il y a une violation systématique des droits de l’enfant en Haïti, car beaucoup d’entre eux y vivent encore à la belle étoile; ils ne peuvent pas aller à l’école et n’ont pas aussi de droit aux loisirs et à l’alimentation, dit-il.
Fort de ce constat, la direction de l’OSEVI renouvelle sa volonté de se mettre aux côtés des enfants du monde entier, notamment ceux qui vivent en Haïti.