Par : Jean Michelot Polynice
Le Cupidon
De son vrai nom Blondy Wolf Leblanc, Gabynho est entre autres auteur, activiste culturel, journaliste et étudiant finissant en psychologie à la Faculté des Sciences Humaines (FASCH). De par son engagement au niveau de sa communauté, il est également l’initiateur du festival du livre de Carrefour, PDG de Kafounews (agence de presse en ligne) et l’initiateur de l’activité dénommée «Week-end poétique» au sein de la commune de Carrefour. En outre, depuis Juillet 2021, il remplit la fonction d’animateur du centre culturel municipal Emmanuel Charlemagne.
Son ouvrage «ZANTRAY» traduit l’expression d’ une société en décadence qui, malgré tout, nous permet d’espérer un meilleur lendemain. Dans son livre «Théorie de l’ Art et des Genres Littéraire», Suberville (1964) souligne que le fond crée la forme (p.94). C’est d’ ailleurs ce qui stimule aux lecteurs(trices) le plaisir de sucer toute la moelle osseuse du livre «Zantray». Cela étant dit, en nous invitant dans son monde, l’auteur prend notre esprit en otage. Avec les mots. Avec les phrases. Mais surtout, avec les images. Avec seize (16) histoires bien racontées, allant de «Nego» à «Souf lavi», cet ouvrage est la radiographie de la vie sociale de plus d’un.
Ainsi, peut-on dire que «Zantray» est un livre qu’ il faut lire absolument parce qu’il y a au moins une histoire qui pourrait concerner chaque lecteur (trice). De là, il convient de préciser que les histoires, même vécues personnellement, auront une influence sur la vie sociale. Donc, lire «Zantray», c’est une manière de comprendre et d’agir en conséquence sur notre réalité.
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