Pour Me Michel, 7 février sera un jour comme tous les autres jours et le Premier ministre Henry ne cédera le pouvoir à personne.
Le leader du SDP a, par ailleurs, prôné un dialogue politique entre les acteurs et la société civile afin de construire un gouvernement d’unité nationale qui devrait aboutir à la formation d’un conseil électoral provisoire pour la tenue d’élections crédibles, a-t-il indiqué.
Le partisan zélé d’Ariel Henry, a également souligné que le véritable débat d’aujourd’hui est la révision de la constitution haïtienne, l’insécurité générale et l’organisation des élections.
» Ceux qui s’opposent à l’arrivée d’une force internationale en Haïti ont d’autres intérêts et contribuent au financement de gangs dans le pays « , a déclaré Me. André Michel.