Ces raids, revendiqués par Téhéran, marquent un tournant faisant redouter une déflagration généralisée sur le sol irakien, une escalade régionale, voire une guerre ouverte entre Washington et Téhéran.
Quelques heures après cette riposte iranienne, de nombreux avions militaires survolaient Bagdad, ont constaté des journalistes de l’AFP.
Les cours du pétrole s’envolaient de plus de 4,5 % mercredi matin dans les échanges en Asie.
« Plus d’une douzaine de missiles » ont été lancés depuis l’Iran contre les bases d’Aïn al-Assad et d’Erbil, selon le Pentagone, qui a précisé qu’il évaluait sa « réponse » à l’attaque.