Cette décision est prise dans un contexte socio-politique spécial où l’insécurité est en effervescence. Le ministre de la santé, de son côté, a averti le gouvernement d’une éventuelle montée des cas de coronavirus dans le cas où le carnaval devrait avoir lieu.
Le premier ministre semble avoir entendu les conseils de son homologue médecin, et a décidé de ne plus organiser ces festivités annuelles.
Cependant, l’État serait prêt à aider économiquement les initiatives pré-carnavalesques des mairies et DJs et les activités des《bann a pye》[bandes à pieds], nous informe une source gouvernementale.