Washington a déjà imposé des sanctions financières ainsi que des restrictions de visas contre plusieurs hauts responsables nicaraguayens.
«Le président Ortega et la vice-présidente Murillo sont, en définitive, responsables des milices pro-gouvernement qui ont brutalisé leur propre peuple», assène la Maison Blanche dans un communiqué.
Les manifestations contre le président Daniel Ortega qui déchirent le Nicaragua depuis trois mois ont déjà fait plus de 300 morts et de 2000 blessés.
Source : Le Petit Journal de Montréal