Pour le SKL, « le secteur qui envoie son représentant dans la formation du CEP doit assumer qu’il contribue non seulement comme la communauté internationale à maintenir le pays dans un chaos défavorable à la réalisation d’élections véritablement démocratiques, mais aussi comme de véritable participant qui encourage le premier ministre dans ses manœuvres contraires aux valeurs républicaines.
Le SKL dénonce, par ailleurs, la question de l’insécurité qui ronge le pays. Pour cette organisation, on devrait d’abord travailler sur la sécurité du pays avant même de lancer dans le processus pour accoucher de nouveaux élus au pouvoir.
Le SKL pense que la situation actuelle ne nécessite pas d’élections, mais dit croire que la conjoncture politique impose de préférence un large consensus entre les acteurs à travers un accord reflétant l’intérêt général du peuple haïtien.