Selon le chef du Parquet, ces individus accusés d’être responsables d’actes de vandalisme dans l’aire métropolitaine de Port-au-Prince encourent une peine de prison pouvant aller entre 10 à 15 ans d’après les articles 64, 68 et 72 du code pénal.
Il a laissé entendre que ces personnes ont été prises en flagrant délit en possession des produits et des matériels provenant des scènes de pillage qui ont eu lieu les 6 et 7 juillet dernier.
Le commissaire du gouvernement Ocnam Clamé Daméus annonce la poursuite des arrestations dans la juridiction de Port-au-Prince et par ailleurs informe que des agents de renseignement et des informateurs sont déjà déployés sur toutes les 20 communes du département de l’Ouest pour faciliter la tâche aux autorités judiciaires compétentes.
Celou FLECHER