Il presse le commissaire du gouvernement près le tribunal de première instance de Port-au-Prince de respecter l’arrêt en adoptant les dispositions pour appréhender M. Etheard et Nelfort accusés d’enlèvements et séquestrations, de blanchiment des avoirs, de trafic de drogue, d’assassinats et d’association de malfaiteurs.
Il accuse l’administration Martelly d’avoir oeuvré pour réaliser un « procès expéditif afin de libérer ces deux individus soupçonnés d’être les chefs du gang Gallil ». Le dossier n’était pas en état de jugement parce que certains inculpés avaient fait appel de l’ordonnance du juge d’instruction, explique M. Espérance.
Avec Radio Métropole