Pour le secrétaire du MOPOD, cette décision traduit la volonté manifeste de l’administration Moïse/Lafontant de suivre les anciennes pratiques anti-démocratiques et dictatoriales des années 86 où des actes jugés barbares ont été posés.
Pour sa part, l’agronome Jean André Victor a qualifié « d’arbitraires » la décision du pouvoir en place de réduire les prérogatives de l’institution policière.
Ces militants politiques appellent à un soulèvement populaire contre cet arrêté présidentiel.
Auteur : Celou FLECHER