C’est après la prière et alors que l’imam se dirigeait vers la sortie de la mosquée pour égorger le mouton que les faits se sont déroulés. Le président Goïta a ensuite été emmené et ne semblait pas avoir été touché, selon le constat de l’AFP.
Interrogés par l’AFP sur la qualification de l’acte comme une « tentative d’assassinat » du président, ses services ont répondu: « Oui, tout à fait ».