Lors de cette manifestation, les manifestants ont déploré la cherté de la vie et demandent aux employeurs de passer le salaire minimum à 1500 gourdes.
Selon le sénateur, le problème de la cherté de la vie survient suite à la décision du gouvernement actuel d’augmenter le prix des produits pétroliers. Il a continué pour dire que, il serait nécessaire aux autorités de s’asseoir avec les ouvriers, au lieu d’utiliser la repression policière en lançant des gaz lacrymogènes qui ont déjà causé la mort à certains manifestants.
Enfin, l’ancien parlementaire a souligné que l’État devrait trouver un moyen pour accompagner les ouvriers surtout dans la question de transport et de l’alimentation.