Par : Célou FLÉCHER
Les funérailles du très regretté Bernard Diedrich, se sont déroulées en présence des membres de sa famille, amis et proches, des anciens journalistes et ceux qui l’avaient côtoyé sous la présidence de François Duvalier (1957-1971) ainsi que des actuels journalistes issus de différents médias de la Capitale haïtienne, entre autres.
Bernard Diedrich, grâce à ses fameuses œuvres dont l’une sur la dictature du Président François Duvalier reste et démeure « Papa Doc et les Tontons macoutes ». Ce dernier a été reconnu comme le plus grand spécialiste de l’époque pour avoir suivi quotidiennement l’évolution de ce régime dictatorial.

De plus, le néo-zélandais a laissé derrière lui d’autres œuvres retraçant toujours les faits des Duvalier dont le fils « Baby Doc » telles : « Jean Claude Duvalier ou la chance galvaudée » ainsi que « le Prix du sang, Le Trophée et The fools of April », entre autres.
Il faut rappeler que le fameux journaliste avait intégré les rangs de la presse haïtienne en 1949. Grâce à sa plume et ses intéressantes idées il avait fait les beaux jours de différents médias du pays avant de procéder à la création du journal « Haïti Sun ».