Par: Akao Gerson Dominique
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Les grognes commencent déjà à se soulever. Par conséquent, le président de la République Jovenel Moïse met en jeux le reste de son mandat.
Il est vrai que l’on est face à une crise récurrente, mais l’homme idéal à présent serait celui qui son nom n’attire pas de la haine, un vrai conciliateur qui, dans tout son parcours a une idéologie politique rectiligne, et qui, avec son mode de gouvernance inclusif va en partie recoudre les profondes déchirures de notre tissu social, faisant ainsi des alliés dans tous les secteurs de la vie nationale. Sur cette base, ce serait la seule formule viable pour éviter facilement les tratactions de part et d’autres.
Tous les regards se convergent à l’heure actuelle vers le palais national. Et, le premier mandataire de la nation n’a plus de fusible à faire sauter. Entre écouter la voix de la majorité et celle d’un clic d’homme, il doit faire son choix.
Parallèlement, le parlement aura à jouer sans faute sa partition en ayant comme chef d’orchestre la constitution afin de trouver un dénouement à la crise actuelle, qui, en la laissant perdurer aurait la possibilité de tout créer.