D’après le ministre Delva, sur 93% des subventions de l’État haïtien aux prix des produits pétroliers, 20% vont vers une catégorie de la classe dominante.
Ces chiffres dit-il, prouvent que les retombées positives ne vont pas au profit de la classe défavorisée soutenant que l’ajustement des prix du carburant est une nécéssité qui permettra à l’État d’avoir les moyens financiers pour répondre aux besoins et aux programmes sociaux en faveur de la population.
Auteur : Celou FLECHER