OSEVI a présenté chronologiquement, un ensemble de parcours résumant le chemin de la lutte féministe dans le monde. Cependant, cette route s’étend encore, et l’humanité y avance. C’est pourquoi l’OSEVI fait appel à l’État haïtien, responsable de la prévalorisation du respect des droits des femmes haïtiennes.
De 1791, avec l’œuvre d’Olympe de Gouges, de la « Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne », à 1970, avec Simone de Beauvoir, en passant par Christine de Pizan, Clara Zetkin, Emmeline Pankurt, Émilie Gourd et tant d’autres, l’OSEVI fait une piqûre de rappelle à la mémoire collective mondiale.
Agressions et viols sont, entre autres, les maux qui grandissent contre les femmes haïtiennes. C’est pourquoi l’OSEVI encourage le travail de l’ONU-Femme en Haïti.
À la fin de cette note de Presse, Enock RICHARD, le Vice-Président de l’ODEVI, tout en rappelant que ces revendications perpétuent depuis des décennies, réclame le respect des droits des femmes.