À en croire ces policiers, depuis environ huit mois il n’ont pas touché un sou de leur salaire. « Depuis huit mois nous ne survivons qu’à partir de l’allocation repas disponible sur notre carte de débit », confient-ils.
Pour ces derniers, c’est inadmissible. « Nous nous sacrifions pour aller travailler tous les jours en faisant des prêts auprès de nos proches. Maintenant, notre patience atteint sa limite », déclarent-ils.
Craignant d’être traité en parent pauvre comme d’autres promotions au sein de la PNH, ils demandent au chef du Conseil Supérieur de la Police Nationale, Joseph Jouthe et au Directeur Général de la Police Nationale d’Haïti, Normil Rameau de pencher sur leurs cas le plus vite possible.
HCI