Pour Fanmi Lavalas, dans des rencontres qu’il a eu avec les responsables de l’accord, il prenait position pour une transition de rupture avec un gouvernement de salut public où l’on trouve des personnalités intègres, compétentes, non partisanes venant de toutes les couches sociales, de tous les secteurs du pays capables de faire sortir le pays dans l’impasse qu’il se trouve depuis un certain temps.
Cette structure politique critique aussi l’organisation du Conseil National de transition (CNT) qu’elle croit qui ne peut pas être à la fois juge et parti, une situation qui pour les responsables du parti Fanmi Lavalas apte à déboucher sur de graves conflits d’intérêts.
Dans cette lette du 28 janvier, Fanmi Lavalas a fait savoir que malgré il constate le calendrier poursuit son chemin sans toutefois dégager un consensus large entre les différents acteurs de la société civile, et rappelle qu’elle (organisation) croit que rien n’est plus important que garantir le respect de l’accord du 30 Août pour la réussite de la transition de rupture dont rêve ce parti particulièrement.