Par: Celou FLECHER
La note précise que ces agents de sécurité ont menacé d’enlever la vie des journalistes, accusés de mettre les projecteurs sur les privilèges accordés aux élus du peuple. Ces menaces ne peuvent que nuire à la sérénité, la stabilité et l’esprit de tolérence dont ont besoin les journalistes pour exercer leur métier au Parlement.
A cet effet, les journalistes décident de surseoir, pendant 2 jours à la couverture des activités au Parlement jusqu’à ce que des mesures soient prises pour assurer leur sécurité.
Ils décident d’étendre cette suspension au delà de 2 jours si les autorités du Parlement ne prennent les mesures pour empêcher de tels actes ne se reproduisent. »
« Ces mesures s’avèrent indispensables pour préserver notre intégrité physique et morale » conclut la note.