Intervernant dans la presse, la défenseure des droits humains a dénoncé les exécutions sommaires de certaines personnes dans les Nippes considérées comme des bandits.
Elle regrette le fait que le ministère de la justice n’ait jamais réagi face aux agissements du commissaire Muscadin.
» Pourquoi le commissaire ne vient-il pas plutôt à Port-au-Prince pour procéder à mon arrestation ? « , se questionne Marie Yolène Gilles qui continue de réclamer le renvoi du commissaire Muscadin à la tête du parquet de Miragoâne.